Le Musée d’Art moderne de la ville de Paris propose une rétrospective Bridget Riley artiste dont tout le travail repose sur la perception optique et les illusions.
L’artiste n’a jamais eu en France l’audience qu’elle méritait évidemment. Ses œuvres des débuts en noir et blanc sont à ce point bâties sur l’illusion optique qu’elles sont presque impossibles à observer, tant se mêlent formes et lignes pour troubler la vue. Les œuvres plus récentes progressivement conquises par une polychromie plus vaste en reprennent le principe, sans toujours, me semble-t-il en conserver la force percutante.
Une exposition passionnante.
